La ville se trouve là, dans sa lumière nue
La nuit crachant/déversant ses chasseurs
Les desperados regardent dans ma direction
Regards froids sous la peau
"Mon corps exalte la féminité
complicité oisive
C'est une lumière dans l'obscurité
De nos torpilles
Elles s’arrêtent ici"- nous sommes tous les deux
Si près du feu
Si près du tabou
Nous embrassons la nuit
Juste toi et moi
Je suis ton sombre chérubin
Toi, le Sphinx en habit noir
Nous sommes tous les deux prêts - nous sommes
Si près du feu
Nous nous tenons et vainquons la peur
Nous respirons volontiers le danger
Nous aimons le précipice/gouffre et nous nous sentons
Invulnérables dans l'ombre
"Les fausses alarmes de bonheur
Perverses, c'est un souffle de liberté
Et comme deux para
Pour nous il n'y a pas de retour"
Si près du feu
Si près du tabou
Nous embrassons la nuit
Juste toi et moi
Je suis ton sombre chérubin
Toi, le Sphinx en habit noir
Nous sommes tous les deux prêts - nous sommes
Si près du feu
Quand le matin, la nuit capture ses chasseurs
Nous nous jurons par serment dans un dernier regard
Nous ne posons pas de fausses questions et notre secret
Nous ne le brisons pas - nous sommes tous les deux
Si près du feu
Si près du tabou
Nous embrassons la nuit
Juste toi et moi
Je suis ton sombre chérubin
Toi, le Sphinx en habit noir
Nous sommes tous les deux prêts - nous sommes
Si près du feu
Si près de le tabou
Nous embrassons la nuit juste toi et moi
Je suis ton sombre chérubin
Toi, le Sphinx en habit noir
Nous sommes tous les deux prêts - nous sommes
Si près du feu
Si près du feu ...
Si près du feu ...
Si près du feu ...
Si près du feu ...