J'étais encore un enfant
quand des gitans arrivaient,
gitans dans notre ville
tam, ta, ta.......
arrivaient dans notre ville.
Les caravanes si bariolées, les petits chevaux si villeux,
ils tiraient les caravanes si lourds
tam, ta, ta,....
et moi, je les suivais
toujours rien qu'après
Et puis, le soir s'approchait, un feu était allumé
et les gitans, ils ont dansé et ri, la, la, la.
Un jeune gitan, un jeune gitan,
jouait de la guitare au feu
tam, ta, ta,......
et moi, je voyais son visage,
mais lui, il ne me voyait pas.
Un jeune gitan, un jeune gitan,
il jouait de la guitare au feu
tam, ta, ta, ....
et enfin, le feu s'est éteint
et je courais vite chez moi.
Le lendemain, je ne pouvais pas attendre
de revoir les gitans inconnus
tam, ta, ta, ...
mais il était m'inderdit de les voir.
Les caravanes si bariolées, les petits chevaux si villeux,
je voulais aller à l'endroit
tam, ta, ta, .......
et je m'absentais clandestinement,
et je m'absentais clandestinement.
Enfin, le soir tombait, je ne retrouvais plus les gitans - la, la, la-
où ils chantaient hier encore, là, tout etait vide - la, la, la.
Jeune gitan, jeune gitan
où es-tu, où sont vos caravanes?
Tam, ta, ta,......
cependant, tout restait vide,
et mon cœur s'appesentait.
Jeune gitan, jeune gitan,
où es-tu, qui peut le me dire?
tam, ta, ta, .....
mais tout restait vide,
et je pleurais autant.