Le feu éclairait la route de nuit,
Et de loin on entendait de rires.
La chanson et la musique m'y attirait.
J'arrivais dans une fête de mariage,
Et la danse se poursuivait, à son apogée.
Je faisais une visite nocturne chez les Gitans.
Oh... les yeux noirs, les dents blanches,
Les mains d'un jeune gitan
M'ont soudain attiré dans la danse fougueuse.
Il me dit qu'il était le frère du marié.
Moi, qui n'étais pas du tout invitée,
Etait arrivée juste dans l'éclat de la fête.
Oh, ami gitan,
Cette nuit nous avons dansé, encore et encore.
Quand je te regardais,
C'était comme si le feu s'était lâché là en moi.
Beau - oui, comme un dieu,
Tu riais et disais, " Maintenant tu es ma fiancée gitane !
Je suis à toi, tu es à moi, tu es rentrée dns ma danse !
Que ça soit notre refrain !"
Comme le vent a été notre danse.
Et pui d'un coup tout l'éclat est parti,
Et tout était fini.
Le jour suivant, dans la même ivresse,
Mon désir pouvait à peine me diriger,
Avant que je puisse y retourner.
Mais alors, il n'y avait là-bas aucune trace
Du camp auquel je m'étais rendu la veille,
Quand j'avais été chez les gitans pour une visite de nuit.
Et mon jeune marié qui avait disparu,
Jamais plus je ne l'avais retrouvé.
Pense, parfois je crois que c'était un rêve.
Mais alors en peine veille de la nuit,
Il réapparait de nouveau,
Les souvenirs affluent vite en tourbillon.
Oh, ami gitan,
Cette nuit nous avons dansé, encore et encore.
Quand je te regardais,
C'était comme si le feu s'était lâché là en moi.
Salut !... Beau - oui, comme un dieu,
Tu riais et disais, " Maintenant tu es ma fiancée gitane !
Je suis à toi, tu es à moi, tu es rentrée dns ma danse !
Que ça soit notre refrain !"
Comme le vent a été notre danse.
Et pui d'un coup tout l'éclat est parti,
Et tout était fini.