Une maison vide, comme j'ai froid
Dieu*, tu me manques
Je t'imagine dans le noir
et [je] tremble du froid
Tu n'avais pas la force
de me comprendre, [me] pardonner
C'est fini mais tu dois
dans ton cœur te souvenir
C'est moi celui qui idolâtrait ta beauté
Qui donnait tout pour toi
Auquel tu as brisé le cœur quand tu as quitté
C'est moi, que tu étais et restais dans mon sang
Sans toi mon monde est vide
Jamais je me pardonnerai
C'est moi
Avec des mots pointus comme une épée
et des larmes [qui] coulent sans arrêt
À l'intérieur de moi je ne croyais pas
que soudain tu partiras
Les excuses n'aide plus
Tu t'en allais, mais même si
tu iras jusqu'au bout de l'horizon
tu n'oublieras pas [que]
C'est moi...