J'ai posé la tête sur ton épaule, les mauvais jours se sont envolés
Le gel a frappé, est parti et le cri a cessé,
Il est même devenu un ami en l'enlaçant,
Les cendres du feu de Leïla fument impatiemment.
Le temps d'abord s'emporte puis fait la paix,
Quand tu t'appuies sur l'absolu comme sur un rocher,
Il examine tout le monde méticuleusement,
Là où leur âme a été blessée.
Et bien sûr le temps d'abord s'emporte puis fait la paix,
Quand tu t'appuies sur l'absolu comme sur un rocher,
Il examine tout le monde méticuleusement,
Là où leur âme a été blessée.
Ça suffit, ça suffit, ça suffit
Le miracle du monde pour toi et moi
Le prétexte de faire demi-tour à mi-chemin nous échoit.
Le temps d'abord s'emporte puis fait la paix,
Quand tu t'appuies sur l'absolu comme sur un rocher,
Il examine tout le monde méticuleusement,
Là où leur âme a été blessée.
Et bien sûr le temps d'abord s'emporte puis fait la paix,
Quand tu t'appuies sur l'absolu comme sur un rocher,
Il examine tout le monde méticuleusement,
Là où leur âme a été blessée.
Ça suffit, ça suffit, ça suffit
Le miracle du monde pour toi et moi
Le prétexte de faire demi-tour à mi-chemin nous échoit.