Rond, comme un cercle dans une spirale,
Comme une roue dans une roue,
Sans jamais finir ni commencer,
Sur une bobine qui tourne toujours,
Comme une boule de neige qui roule en bas de la montagne,
Ou un ballon de carnaval,
Comme un manège qui brûle
En parcourant des anneaux autour de la lune,
Comme une horloge dont les mains balayent
En passant les minutes de son cadran.
Et le monde est comme une pomme
Qui tourne silencieusement dans l'espace,
Comme les cercles que tu trouves
Dans les moulins de ton âme.
Comme un tunnel que tu suis
Vers un autre tunnel,
Au fond d'un trou vers une caverne
Où le soleil ne brille jamais.
Comme une porte qui continue de tourner,
Dans un rêve à demi oublié
Ou les ondulations dues à un cailloux
Que quelqu'un lance dans un fleuve.
Comme une horloge dont les mains balayent
En passant les minutes de son cadran.
Et le monde est comme une pomme
Qui tourne silencieusement dans l'espace,
Comme les cercles que tu trouves
Dans les moulins de ton âme.
Des clés qui tintent dans ta poche,
Des mots qui résonnent dans ta tête.
Pourquoi l'été est-il passé si vite?
Est-ce que c'était ce que tu as dit?
Les amoureux se promènent sur le rivage,
Et laissent leurs pas sur le sable.
Le son d'un lointain tambour
Est-ce seulement les doigts de ta main?
Des tableaux suspendus dans un couloir
Et un fragment de cette chanson,
Des noms et des visages à moitié oubliés
Et on ne sait pas à qui ils appartiennent.
Quand tu as su que c'était fini,
Étais-tu soudain conscient
Que les feuilles d'automne prenaient
La couleur de ses cheveux.
Comme un cercle dans une spirale,
Comme une roue dans une roue,
Sans jamais finir ni commencer,
Sur une bobine qui tourne toujours,
Alors que les images nous détendent
Comme les cercles que tu trouves
Dans les moulins de ton âme.
Des tableaux suspendus dans un couloir
Et un fragment de cette chanson,
Des noms et des visages à moitié oubliés
Et on ne sait pas à qui ils appartiennent.
Quand tu as su que c'était fini,
Étais-tu soudain conscient
Que les feuilles d'automne prenaient
La couleur de ses cheveux.
Comme un cercle dans une spirale,
Comme une roue dans une roue,
Sans jamais finir ni commencer,
Sur une bobine qui tourne toujours,
Alors que les images nous détendent
Comme les cercles que tu trouves
Dans les moulins de ton âme.