Que cette ville est étroite,
Avec ses rues en bitume
Et ses murailles qui l'encerclent!
Le souffle me manque.
Ceci n'est pas un lieu
Où je peux encore vivre avec toi.
Souvent je suis couchée et reste longtemps éveillée.
Je m'envole avec mon rêve
Et me je me représente comment ce serait
Si on était dans un autre pays
Et si toutes les autres personnes avaient fui.
Un vaste pays,
Un vaste pays,
Où on peut encore voir l'horizon,
Où il n'y a plus de murailles ni de frontières,
Là-bas où la fleur de la liberté s'épanouit encore.
Un vaste pays,
Un vaste pays...
Aussi loin que l'œil peut voir
Le bonheur de la solitude.
ça nous suffit d'être tous les deux,
Donne-moi le peu de courage
Dont j'ai encore besoin
Pour faire le grand saut et partir.
D'abord, nous sommes en chemin
Et nous volons vers le ciel,
Puis je ne regarde plus derrière
Cette ville si bruyante et froide,
Car il y a bientôt devant nous une nouvelle chance.
Un vaste pays,
Un vaste pays,
Où on peut encore voir l'horizon,
Où il n'y a plus de murailles ni de frontières,
Là-bas où la fleur de la liberté s'épanouit encore.
Un vaste pays,
(Un vaste pays)
Un vaste pays...
(Un vaste pays)...
Où la nuit, les étoiles brillent encore pour nous,
Et où le vent et le soleil sont gratuits.
Un vaste pays,
(Un vaste pays)
Un vaste pays...
(Un vaste pays)...
Où on peut encore voir l'horizon,
Où il n'y a plus de murailles ni de frontières,
Là-bas où la fleur de la liberté s'épanouit encore.
Un vaste pays,
Un vaste pays,
Un vaste pays...