Alice se réveille
C'est le matin
Elle baille
En marchant dans la pièce
Ses cheveux tombe sur sa poitrine
Elle est nue et nous sommes en juin
Debout à la fenêtre
Je me demande si elle sait que je peux voir
Observer Alice se lever année après année
Là-haut dans son palais, elle en est captive
Le corps d'Alice
Est brun doré
Ses cheveux pendent
Alors qu'elle se penche pour me conquérir
D'abord elle enfile ses bas
Et puis la cloche de l'église sonne
Alice se glisse dans son uniforme
Les fermetures éclair sur le côté
Observer Alice s'habiller dans sa chambre
C'est si déprimant, si cruel
Observer Alice s'habiller dans sa chambre
C'est si déprimant, c'est vrai