Parcourant cette rue bien connue
Te retournant aux pieds des dames
Comme tu le fis il y a tant d'années
T'asseyant dans ce café
Là où tu buvais le thé
Allez mon garçon, ne deviens pas sentimental maintenant
Tout a changé mais tu n'as pas bougé
Et l'unique fait est
Que tu es plus âgé de quinze ans
Inutile d'éteindre la lumière
Tu te sens si déprimé
Lorsque tu penses à tes années perdues
Te tenant dans ta discothèque
Tu regardes droit devant depuis des heures
Tu joues les étoiles jeunes et solitaires
De plus en plus introverti
Attendant un petit bonjour
Les gens près de toi semblent si loins
Mais plus profondément tu as fait l'amour au monde
Car ton imagination
Était plus grande que la réalité
Inutile d'éteindre la lumière
Tu te sens si déprimé
Lorsque tu penses à tes années perdues
Lorsque tu vins dans cette ville
Tu trouvas que tout était bien
Tout tes projets devaient être réalisés
Mais tes rêveries t'étranglèrent
T'éloignèrent de ce que tu devrais faire
Et la vie passa alors que tu étais paralysé
Le Paradis sait que tu donnerais tout
Pour une chance de revenir à ces jours pour un nouveau départ
Inutile d'éteindre la lumière
Tu te sens si déprimé
Lorsque tu penses à tes années perdues
Parcourant cette rue bien connue
Te retournant aux pieds des dames
Comme tu le fis il y a tant d'années
T'asseyant dans ce café
Là où tu buvais le thé
Allez mon garçon, ne deviens pas sentimental maintenant
Tu devrais quitter les lieux de ton passé
Car les rêveurs aiment les villes et les villes haïssent les rêveurs
Inutile d'éteindre la lumière
Tu te sens si déprimé
Lorsque tu penses à tes années perdues
Tu devrais quitter les lieux de ton passé
Car les rêveurs aiment les villes et les villes haïssent les rêveurs
Inutile d'éteindre la lumière
Tu te sens si déprimé
Lorsque tu penses à tes années perdues