Elle se démêle de tout en riant
N'approchant le vrai que de loin
Elle vit ses plus belles années enfant
Ignorant ce qu'est le veuxsoin
(ignorant ce qu'elle veut/ignorant ce qu'est le besoin)
Il est loin
Si loin
Le temps de vivre
Blasée dans les hautes sphères du plaisir
Seule à pouvoir toucher du doigt
Ce qu'elle aimait comme son grand délice
("délire" devient "délice", il dit le R avent le CE)
Une chose à laquelle elle se doit
les larmes coulent
les faces rouges
Elle entend le sceau du bonheur
(j'entends "sceau" et pas "son". "saut" marche aussi dans la
poésie)
Pour enfin pouvoir s'y étendre
masque au moins si cette trop vive douleur
(si c'est trop/cette trop vive douleur)
Elle mentira sans méprendre
Les heures s'infusent
Ils se diffusent
Il est loin
Si loin
Le temps de vivre/fièvre
(viiiiiièèèèevreueuoooeueu = fièvre??)
Blessée par les lames de son délire/tir
("délire" devient "tir")
Toute seule à retenir la barque
*Fierté heure vie* sa chair se déchire
(Alors le début du vers : IMPOSSIBLE)
Devant être dans cette image
Les larmes coulent
Les faces rouges