Tu cacheras encore ta rancune derrière des lunettes
Tu feras au revoir, apparemment paisible
Bien sûr que ces scènes ne sont ni pour lui ni pour personne
C’est d’autant plus simple, d’autant plus facile, de s’en aller sans problème
Mais quelque part à l’intérieur, tout crie
Et cogne si éperdument
Et ne te donnera peut-être jamais son pardon
Les tessons du chagrin, aux rêves déchirés
Des tessons du chagrin, les neiges fondues
Tu lis les cartes et crois aux prophéties
La solitude t’est par dessus tout affreuse
De ton journal les dernière pages manquent
Le silence te surplombe dans la brume, tu te tiens sur le bord du désespoir
Un seul pas, on sent que tout ne va pas bien
Et les fenêtres grincent, avec des regards affamés
Et les pensées volent, empoisonnées par les venins
Les tessons du chagrin, aux rêves déchirés
Des tessons du chagrin, les neiges fondues
Tu cacheras encore ta rancune derrière des lunettes
Tu feras au revoir, apparemment paisible
Bien sûr que ces scènes ne sont ni pour lui ni pour personne
C’est d’autant plus simple, d’autant plus facile, de s’en aller sans problème
Tu cacheras encore ta rancune derrière des lunettes
Tu feras au revoir, apparemment paisible
Bien sûr que ces scènes ne sont ni pour lui ni pour personne
C’est d’autant plus simple, d’autant plus facile, de s’en aller
Les tessons du chagrin, aux rêves déchirés
Des tessons du chagrin, les neiges fondues
Les tessons du chagrin, aux rêves déchirés
Des tessons du chagrin, les neiges fondues