Le soleil dessine un cercle et il est à nouveau
Derrière, comme une sentinelle
La vie est un tout petit peu plus courte et l'ombre un tout petit peu plus longue,
Mais le ciel au-dessus de ma tête
N'est pas prêt à répondre
Pourquoi est-ce que je compte ici chaque journée.
Elle attend, quand je crierai, je répandrai ma douleur,
Et la ville éternelle deviendra ma malédiction
Ici, personne ne m'entend
L'argent, le sang, la superbe et l'orgueil
Portent la grandeur de ces murs.
Cela ne servira à rien d'être plus haut que
Mélange infernal de paroles et de destins
Et désir de grandeur au nom des changements.
On y est grisé par le pouvoir et la vanité
On n'est pardonné ni dans le passé ni dans l'avenir
Babylone, Babylone,
Qu'as-tu construit? Qu'as-tu détruit?
Babylone, Babylone,
Les âmes fondent au feu du démon!
La trace brûlait sur chaque pierre
Tu étais possédé par le désir
Jeter un œil derrière la limite, ayant méprisé le frisson passé
Tu ne croyais pas au repentir
Sachant que tu serais jeté depuis les cimes
Tu tendais les bras vers le ciel, acceptant un mensonge pour croyance
Tu as été saisi et élevé par la vague
Pour apercevoir d'emblée la mort et le soleil
Babylone, Babylone,
Qu'as-tu construit? Qu'as-tu détruit?
Babylone, Babylone,
Les âmes fondent au feu du démon!