Quand sous le fardeau des ans et de la chasteté
au milieu des souvenirs et des illusions
de la belle époque révolue,
tu trouveras mes chansons,
en les écoutant tu t'étonneras
que quelqu'un ait pu louer la beauté
qui t'aura quittée
mais qui fut la tienne autrefois.
Le souvenir ne te servira pas,
il ne te servira
que pour pleurer le refus
de mon amour qui ne reviendra pas.
Il ne te servira plus à rien
il ne te servira
que pour pleurer sur tes yeux
que plus personne ne chantera.
Il ne te servira plus à rien
il ne te servira
que pour pleurer sur tes yeux
que plus personne ne chantera.
Le temps s'envole, tu le sais qu'il vole et s'en va,
peut-être que nous ne le voyons pas
mais plus encore que le temps qui est sans âge,
c’est bien nous qui nous en allons.
Et voilà pourquoi je te dis amour, amour
je t’attendrai chaque soir,
mais viens, n’attends plus
viens tant que le printemps est là.