Des bébés pleurent quand meurent des ivrognes
Leurs âmes deviennent les fantômes les plus tristes
Ils se couchent sous un lit et crient "c'est nous!"
Mais personne ne les cherche et personne ne les trouvera
Des moineaux aux jardins jouent au sorbier
Un balayeur danse entouré des ordures puantes
Des horloges battent, ils sont battus
Jusqu'à il n'y a plus de temps chez moi
Chez moi, chez moi