Tu arraches la couronne ; le spectre, tu l'emportes
La cape, tu la déchires ; très vite à nu, je prends froid
J'espère que tu ne me toucherais même pas
Il y a beaucoup que j'espère, peu que j'obtiens
Je tombe et je regrette
D'être jamais né
Je me couche sur cette terre
A qui tu confisques le pouvoir
Les frontières de l'époque de paix ont été fermées
Ton empire de violence l'a voté ainsi
Tu désires la terre où croît ma récolte
Tu désires un empire de violence
Pourtant tu m'échapperas pas,
Seulement tu perdras la raison
Et un son vif de frottement se fera
Il y a un point de douleur ossifié dans ma tête
Je suis une copie vierge
Tu notes un article
Si jamais je me lève, tu chuteras
Fais donc le travail
C'est la nuit d'un coup d'État
La seule couronne
Que ce roi porte encore
Se détache de sa dent