Tu te demandes trop souvent quel est le chemin
Et si tu l'as bien choisi,
Quand tu tombes et c'est trop dûr de se relever,
Et tu serres les dents.
Tu penses trop souvent au passé, et c'est comme si tu te mentais encore
Et tu sais que tu as un plan, et que ton plan est ta vie
De laquelle tu arraches des morceaux sans le savoir depuis des années.
Et tu voudrais être là, où
Quelqu'un t'attend toujours, où
La pluie légère nettoie, automne après automne, la poussière des trottoirs
Où les yeux qui ne se voient pas ne s'oublient pas, où le matin tout le monde se salue
Et où tu ne vois pas de sourires que dans les photographies.
Les années passent inaperçues, comme si elles voulaient être oubliées, il en reste toujours moins,
Tu as changé trop souvent de locataire, mais parmi ceux qui restent sont la nostalgie et l'insomnie
Tu es un verrou sans la clé, on a le même style dicté subtilement par les lieux d'où on vient
Là où c'est tellement vert, ou où on leur manque, où les coeurs battent à l'unisson.
Et je voudrais être là, où
Quelqu'un t'attend toujours, où
La pluie légère nettoie, automne après automne, la poussière des trottoirs
Où les yeux qui ne se voient pas ne s'oublient pas, où le matin tout le monde se salue
Et où tu ne vois pas de sourires que dans les photographies.
Et chaque chemin commence avec un pas,
Quand tu rêves vraiment, et tu oublies le temps
Et tu fais des pas vers ce que tu veux être,
Même si le monde et grand, tellement grand, tellement grand, et toi tellement petit
Tu sais que tu es un homme sur un chemin sur lequel,
Tu ne peux pas être arrêté, où,
Quelqu'un t'attend toujours, où
La pluie légère nettoie, automne après automne, la poussière des trottoirs
Où les yeux qui ne se voient pas ne s'oublient pas, où le matin tout le monde se salue
Et où tu ne vois pas de sourires que dans les photographies.
Où...