Maintenant tu es le garçon de l'épicier
Et avec les pourboire dans ta poche tu es un homme
À ce point tu peux aspirer à beacoup,
même à elle.
Sa mère celle mégère est toujours la même
Avec ses yeux de tueuse, si vénale
Deviendra à la fin un peu gentile.
Tu te sentiras plus fort, un vrai homme, ah ouais
En parlant de la maison à acheter, ah ouais
Et elle te récompensera en s'offrant avec désir.
Tu l'auras, tu l'auras, avec désir et amour
Mais tu ne sais pas le prix que tu devras payer !
Cours, fuis et sauve quelque chose en toi !
Et ne les laisse pas faire,
ne déviens pas un homme à brûler !
L'air, l'air que tu respirais pas si longtemps,
A encore son parfum,
des vraies choses, des choses pures, de liberté !
Oh no, ne te demande pas où, comme
Comme tu iras trâiner ta vie
Avec qui, avec qui tu vas effacer ton nom
Pour qui ?
" 200g de jambon"
"Oui madame ...
... est-il encore malade votre enfant ?
... quel dommage, voulez-vous du fromage frais aussi ?"
Toute la vie derrière le comptoir pour lui garantir
Un avenir qui lui puisse donner
La confiance, une voiture, quelque chose pour être enviée
Tu l'auras ! Tu l'auras, tu l'auras, avec désir et amour
Tu l'auras, mais tu ne sais pas le prix que tu devras payer !
Cours, fuis et sauve quelque chose en toi !
Et ne les laisse pas faire,
ne déviens pas un homme à brûler !