Je compte jusqu’à dix
Pour comprendre que tu ne vas pas revenir.
Comment je fais moi pour respirer
Si je n’arrête pas de pleurer ?
Et mes amis me disent : quelle bonne nouvelle que tu n’y sois plus,
Ils disent que je ne te téléphone plus, qu’une bouteille me fera oublier.
Et ils répètent, répètent que toi, au final,
tu n’est pas si spécial,
Tu ne marches pas sur la mer, ni ne convertis en or le cristal.
Il faut seulement chercher, il y en a un million comme toi.
Toi au final, tu n’est pas si spécial,
Tous ont le même avis, tu seras facile à oublier,
Il faut seulement chercher, il y en a un million comme toi
Cette chanson ne devait jamais
parler aussi mal de toi et moi.
Mais je suis ici, avec plume et papier
Essayant de t’être cruelle.
Et tout cela parce que mes amies se réjouissent (1) que tu ne sois plus là,
Elle disent que je ne te téléphone plus que je m’en cherche un autre pour oublier.
Elles me répètent, répètent que toi au final,
tu n’est pas si spécial,
Personne ne t’as vu voler, tu ne peux pas arrêter les balles,
Il faut seulement chercher, il y en a un million comme toi.
Toi au final tu n’est pas si spécial,
Tous ont le même avis, tu seras facile à oublier,
Il faut seulement chercher, il y en a un million comme toi.
Si il y en a un million comme toi
Pourquoi je ne peux pas dormir ?
Pourquoi ai-je arrêter de manger ?
Je ne sais pas si c’est la nuit ou le jour.
Si il y en a un million comme toi,
Pourquoi je ne peux arrêter de me demander si tu vas téléphoner ?
Pourvu qu’il reste en toi un souvenir de moi,
Ce doit être que :
Toi au final oui tu étais très spécial.
Je ne veux plus écouter, que les autres se taisent,
Il n’y a personne d’autre, personne n’est comme toi.
Toi au final tu étais le plus spécial.
Je ne me pardonnerai pas de t’avoir laisser partir,
parce qu’il n’y a personne d’autre, personne n’est comme toi.