Quand j’étais jeune
Les garçons me courtisaient
Usant de leurs ruses
Pour enlever le morceau
Mais ma force et ma volonté
Etaient grandes
Je ne me fatiguais pas
Ni ne perdais la tête
Ma vertu ne t’appartient pas
Moi je suis à Txiku Branku
Qui travaille à Lisbonne
Et qui reviendra profiter de sa retraite
Eia ! ma vertu ne t’appartient pas
Eia ! moi je suis à Txiku Branku
Eia ! ma vertu ne t’appartient pas
Eia ! moi je suis à Txiku Branku
Tu n’as rien à m’offrir
Eloigne-toi de moi, ne me tente pas
Ma mère souffre encore à cause de ce séducteur
Qui a détruit sa vie
Ma vertu ne t’appartient pas
Moi je suis à Txiku Branku