Tu peux le prendre sans plus attendre.
Je dois comprendre qu'il ne m'aime plus.
C'est bien ma faute—oui, c'est ma faute—
si pour une autre, je l'ai perdu.
Je le soupçonne, je le questionne,
je lui pardonne mais c'est en vain.
Je dévisage sur son visage—
je vois l'image de mon déclin.
Tu peux le prendre sans plus attendre.
Je dois comprendre que c'est la vie.
Tourner la page, je l'envisage
après l'orage, tout est fini.
Mais qu'il comprenne qu'avec ma peine
dites que je l'aime—rien n'est plus fort.
S'il veut m'apprendre de ne pas l'attendre,
s'il faut attendre, j'attends encore.
J'ai du te dire mille betises,
mille sottises—oublie tout çà.
Qu'il me comprenne et qu'il revienne.
Oh, qu'il me prenne entre ses bras.
J'ai du te dire mille betises,
mille sottises—oublie tout çà.
Qu'il me comprenne et qu'il revienne.
Oh, qu'il me prenne entre ses bras.
Qu'il me comprenne et qu'il revienne.
Oh, qu'il me prenne entre ses bras.