Sur les sentiers, d'un pas brisé,
Marchent au loin d'étranges personnes.
Leur âme est froide, complètement glacée,
Frémissante, pleine d'envie mais lasse.
Les mères chez elles vieillissaient,
Et leurs pauvres enfants languissaient.
Aujourd'hui, de la tombée au lever du jour, ils font le tour du monde,
Cachant leurs tourments sous leurs chemises...
Leur âme est froide, complètement glacée,
Frémissante, pleine d'envie mais lasse.
Ni prêtres, ni marchands,
Les jeunes s'amusaient bien.
Ils ne rient pas, ne pleurent pas et taisent ce qu'ils pensent.
Ils respirent la poussière, les jours glacés
Chercheurs de pénitence auprès du créateur,
Chercheurs de pénitence auprès du créateur.
Voilà comment ils trouveront, ils inonderont de larmes les terres ancestrales de leurs pères d'où ils venaient
Les terres ancestrales de leurs pères où ils allaient.
Les terres ancestrales de leurs pères d'où ils venaient.