Les rues ont l’air sévère et insipide
Le froid s’empare de la terre
Dans la ville il fait toujours humide
Dans la ville il fait toujours humide
Mais dehors, c’est bien lL’hiver, l’hiver, l’hiver
Et vers les horizons, enneigés et vibrants,
M’entraînent dans un vol effréné
Mes trois chevaux blancs, eh, mes trois chevaux blancs :
Décembre, janvier, février
Et vers les horizons, enneigés et vibrants,
M’entraînent dans un vol effréné
Mes trois chevaux blancs, eh, mes trois chevaux blancs :
Décembre, janvier, février
L’hiver s’installe dans les plaines désertes
La neige tombe jour après jour
Seuls les grands sapins en robe verte
Seuls les grands sapins en robe verte
Courent à ma rencontre, courent, et courent, et courent
Et vers les horizons, enneigés et vibrants,
M’entraînent dans un vol effréné
Mes trois chevaux blancs, eh, mes trois chevaux blancs :
Décembre, janvier, février
Et vers les horizons, enneigés et vibrants,
M’entraînent dans un vol effréné
Mes trois chevaux blancs, eh, mes trois chevaux blancs :
Décembre, janvier, février
Qu’importe si l’hiver nous fait des siennes !
Qu’importe si le froid sévit !
Dans la ville j’avais le cœur en peine
Dans la ville j’avais le cœur en peine
Mais, à la campagne, je ris, je ris, je ris !
Et vers les horizons, enneigés et vibrants,
M’entraînent dans un vol effréné
Mes trois chevaux blancs, eh, mes trois chevaux blancs :
Décembre, janvier, février
Et vers les horizons, enneigés et vibrants,
M’entraînent dans un vol effréné
Mes trois chevaux blancs, eh, mes trois chevaux blancs :
Décembre, janvier, février