« Aide-toi et le ciel t’aidera. »,
murmure un petite voix,
voilà ton mantra
et tu traces ton chemin,
traces ton chemin.
T’avances,
des autres tu n’attends rien.
Solitaire tu navigues en brise-glace
et tu traces ton chemin,
traces ton chemin.
Oh, oh, oh.
En avant,
mais tu traces ton chemin,
traces ton chemin.
Oh, oh, oh.
Sans répit
et tu traces ton chemin,
traces ton chemin.
Refrain :
Il faudrait stopper
le temps des demains,
chanter maintenant
un autre refrain,
voir d’autres destins,
effacer l’angoisse,
ce ciel incertain,
ces corbeaux qui passent.
« Aide-toi et le ciel t’aidera. »,
tout ce mea culpa,
tu t’en débarrasses
et tu traces ton chemin,
traces ton chemin.
« Aide-toi et le ciel t’aidera. »,
ce mantra, c’est le tien,
de l’audace
et tu traces ton chemin,
traces ton chemin.
Oh, oh, oh.
Sans répit
et tu traces ton chemin,
traces ton chemin.
Refrain
Oh, oh, oh...
« Aide-toi et le ciel t’aidera. »,
tu ne vis qu’en surface,
tous ces va-et-vient
et tu traces ton chemin,
traces ton chemin.
Il faudrait changer
ce monde inhumain,
pouvoir s’arrêter
avant le ravin,
voir d’autres destins,
effacer l’angoisse,
ce ciel incertain,
ces corbeaux qui passent.