Je me réveille toute seule, mes yeux ne cherchent personne,
et ce reflet dans mon regard, quoi est-ce ?
Il y a une montre pour hommes sur le table à côté de moi et il paraît qu’elle me dit
Qu’il paraît que quelqu’un d’autre vit ici chez moi !
Et deux ou trois gouttes de sang après rasage
Un odeur affligeant se diffuse dans les chambres
Depuis quand les fantômes viennent-ils chez moi dans la journée ?
Oh, où est cet homme
Qui vit ici chez moi ?
Ref.
Et j’appelle, j’appelle quatre-vingt-douze1
Il faut qu’ils le cherchent, qu’ils le trouvent !
Il faut qu’il dise où l’amour a disparu !
Il faut qu’ils fassent démarrer les sirènes, que l’alerte commence !
Et quand ils le ratrappent, il faut qu’ils lui disent « Arrêt ! »
Il faut qu’il avoue au moins forcement qu’il est mien
Mon homme sans voix, sans âme, sans visage
Mon vice le plus oppressant, mon meurtrier silencieux
..."Mon témoin unique, mon complice, mon jury..."
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Ceux-ci qui ressemblent à lui ne disent jamais « Adieu »
Il accuse toujours des autres pour ses erreurs
Chaque nouvelle séparation avec lui est sans larmes
Oh, où est cet homme
Qui vit avec moi, mais il ne vit pas !
Ref. (x2)
1. le numéro 92 est le numéro de la police en Serbie