Elle est en train de marcher à tavers sa ville natale
Où elle avait l'habitude de vivre il y a très, très longtemps.
Jour aprés jour, elle marche
Et semble savoir exactement où elle veut aller.
Elle regarde, en traversant le pays
Comme s'il était sous son commandement.
Elle ne se souvient de rien,
Elle ne prétend rien,
Oh...ooh, le pays immense...
Oh...ooh, le pays immense...
Ses mots arrivent dans un language
Qui continue de changer avec les jours qui passent.
Mais ça n'a pas vraiment d'importance
Parce qu'elle parle avec une lueur dans ses yeux.
Elle ne semble pas être préocupée
Que les autres ne puissent pas comprendre
Et quand on la voit rire
On apprend à la connaître comme une amie.
Oh...ooh, le pays immense...
Oh...ooh, le pays immense...
Elle perd tout souvenir
Des visages qu'elle avait l'habitude de très bien connaître.
Mais elle se rappelle encore de toutes les mélodies
De bonnes vieilles chansons dont elle ne peut plus dire les titres.
Elle chante, les yeux fermés,
Et tu peux presque entendre la fanfare.
Si tu pouvais voir son sourire,
Je pense que tu saurais ce qu'elle veut dire,
Quand elle dit:
Oh...ooh, le pays immense...
Oh...ooh, le pays immense...
le pays immense...
le pays immense...