Les portes de beaucoup et de peu
Qui mènent sur l'envers, autour et à travers
Passé oublié, comme neuf désormais
Une ligne séparant le faux du vrai
Cette pièce uniquement
Et aussi piégés qu'on est, c'est le diable qu'on connaît
Les exceptions qu'on fait ne seront jamais montrées
Pour le reste du monde, ce qu'on touche devient or
Pour un moment on ne bouge plus
Mais dès qu'il y a une pleine lune
Elle peint nos visages
On ne saura pas quel tournant prendra le ciel
On est à l'éclipse de sang
Et on ne peut détourner le regard
C'est comme un crash en flammes au bout du monde
Dans l'averse, douce et grise
Qui mène sur l'envers et s'envole
Bientôt finie et espérant de rester
Une lumière définissant nuit et jour
Et c'est ainsi qu'on prie
Et aussi piégés qu'on est, c'est le diable qu'on connaît
Les exceptions qu'on fait ne seront jamais montrées
Pour le reste du monde, ce qu'on touche devient or
Pour un moment on ne bouge plus
Mais dès qu'il y a une pleine lune
Elle peint nos visages
On ne saura pas quel tournant prendra le ciel
On est à l'éclipse de sang
Et on ne peut détourner le regard
C'est comme un crash en flammes au bout du monde
Mais dès qu'il y a une pleine lune
Elle peint nos visages
On ne saura pas quel tournant prendra le ciel
On est à l'éclipse de sang
Et on ne peut détourner le regard
C'est comme un crash en flammes au bout du monde