Au commencement de tout,
A crier de l'amour au monde.
Nous étions alors comme des hommes des cavernes,
On faisait de grands sourires à la lune et aux étoiles,
Puis on leur pardonnait.
On te retrouvera là où sont les lumières,
Les défendeurs de la foi que nous sommes.
Où le tonnerre tourne en rond
Ils courront si vite qu'on arrachera le sol.
Tu sais, il n'y a pas mort d'homme
Dans ces mensonges urbains d'amour,
A travers nos yeux noyés d'amour,
On te regardera dormir cette nuit.
Bien que personne n'ait compris
Que nous retenions le déluge,
En apprenant à faire la danse de la pluie.
Nous retenions le déluge
Ils disaient qu'on ne danserait plus jamais.
On saignait, mais aucun d'entre nous n'est parti,
Surveille tes paroles, fiston,
Ou tu te retrouveras en train de flotter vers chez toi.
Et voilà qu'on arrive sur une étoile noire,
On voit des démons, que nous ne sommes pas.
Des esprits étriqués et des mains avides
Essaieront de frapper mais prendront fin aujourd'hui.
Maintenant il y a du progrès
Là où autrefois il n'y en avais pas,
Là où autrefois il y avait... ah,
Puis tout a progressé.
Bien que personne n'ait compris
Que nous retenions le déluge,
En apprenant à faire la danse de la pluie.
Ils étaient plus nombreux que nous
Maintenant ils ne danseront plus jamais.
Bien que personne n'ait compris
Ils étaient plus nombreux que nous
A apprendre à faire la danse de la pluie,
Nous retenions le déluge
Ils disaient qu'on ne danserait plus jamais.
On te retrouvera là où sont les lumières,
Les défendeurs de la foi que nous sommes.
Où le tonnerre tourne en rond
Ils courront si vite qu'on arrachera le sol.
Bien que personne n'ait compris,
Ils étaient plus nombreux que nous
A apprendre à faire la danse de la pluie.
Ils étaient plus nombreux que nous
Désormais ils ne danseront plus jamais.
Désormais nous ne danserons plus jamais.