Les feuilles tombent, le vent souffle si froid
La fin, un cycle, pèle jusqu'au noyau
La vision fait face au désintégrateur
Tout me revint en mémoire
Personne ne pourrait être plus bas, rampant en dessous
Du poids que je ne peux supporter
Je mange tout, sauvage et vierge
Le monde porte les larmes
De nouveau la gloire s’écroulant en silence
Je serais en train de compter les couches
Et les millions de miroirs que tu envoies
Réfléchissant les rayons de soleil dans les heures sombres
Des esprits supérieurs regardent depuis là-haut
Buvons ces larmes, puissions nous devenir forts
Parfois déçus dans notre amour
Nous nous dupons avec une prétention aveugle
Coupons les liens avec les options possibles
Détruisons les ponts vers les terres verdoyantes
Tombe sur le sol
Tout périt à nouveau
Un cercle de sang et de puissance recyclés
Une vision plus grande attend un nouvel avènement
Des rochers qui fondent sur les vies travailleuses
Et tous devrons périr, se transformer
Il ne reste rien à dérober, plus de gratification
La compétition est terminée, pas de triche
Ce grand œil ouvert sous les eaux
S’élève lentement, étreint de tous côtés
Tombe sur le sol
Tout périt à nouveau
Les feuilles tombent, le vent souffle si froid
La fin, un cycle, pèle jusqu'au noyau