Le dragon s'est abimé,
Ses os sont écrasés,
Son armure est froissée,
Sa splendeur humiliée.
Le dragon s'est abimé,
Ses os sont écrasés,
Son armure est froissée,
Sa splendeur humiliée.
Quoique l'épée doive rouiller,
Le trône et la couronne périr,
Aussi la force des hommes estimée,
Et la fortune qu'ils chérirent,
Quoique l'épée doive rouiller,
Le trône et la couronne périr,
Aussi la force des hommes estimée,
Et la fortune qu'ils chérirent,
L'herbe, ici, toujours grandit,
Les feuilles ne cessent de balancer,
L'eau claire qui s'écoule,
Les elfes chantent encore,
Viens! Tra-la-la-li!
Reviens dans la vallée!
Le dragon s'est abimé,
Ses os sont écrasés,
Son armure est froissée,
Sa splendeur humiliée.
Le dragon s'est abimé,
Ses os sont écrasés,
Son armure est froissée,
Sa splendeur humiliée.