La fleur que j'ai coupée
La fleur que j'ai coupée
Et une fleur que j'ai coupée
Que l'on appelle pensée
M'a rappelé les tourments
Que m'a causés une femme
Mais je suis parti à Cuba
Mais je suis parti à Cuba
Pour tenter ma fortune
Sans espérance aucune
Et à Cuba j'ai rencontré
Mon amour
Qui m'a aimé comme personne
Ay! Jolie Cuba, je te vénère
Jolie Cuba, je te vénère
Pour ta beauté sans pareil
Pour ta beauté sans pareil
Tu m'as semblé si belle
Quand je t'ai parlé à la fête
Tu m'avais l'air d'être une autre
Plus jolie, plus belle
Que le caféier
L'homme naît et à la naissance
L'homme naît et à la naissance
Il a une prison pour destin
Car il vient seulement
Pour souffrir continuellement
Où nuit où la lune
Où nuit où la lune
Ne répandait pas sa si belle lumière
Une seule étoile
Qui illuminait ma fortune
Sans espérance aucune
Je suis arrivé au sépulcre
Et ai déposé un dahlia
Sur la tombe de mon amour
Où gisent les restes froids
De la femme que j'ai adorée
Où gisent les restes froids
De la femme que j'ai adorée
Où gisent les restes froids
De la femme que j'ai adorée