Les sciences naturelles, elles m’échappent totalement ;
Mon soleil se couche parfois à l’orient.
Il y a d’étranges forces merveilleuses qui m’attirent vers toi.
Et avant que la musique ne meure, délivre-moi.
Puis, on voit arriver le tour du morceau
De musique qui embrase la piste sous tes pinceaux,
En racontant exactement ton histoire,
T’entraîne tout le soir…
À danser sans vraiment savoir
Comment le faire, danser sans vraiment savoir,
À voir enfin que tu es
Aguichant[e] comme aucun[e] jamais,
Jamais finir de jouer cette danse et bouger,
Jamais finir de jouer des hanches et bouger.
Un peu de sérieux, chéri[e] ! Et prends-moi, emporte-moi,
Montre-moi le feu dans ta bouche et sa sambuca.
Tu articulais là
Et sortais un ouais tout gai.
Tu parles donc toutes les langues. Mais je m’en doutais !
Puis, on voit arriver le tour du morceau
De musique qui embrase la piste sous tes pinceaux,
En racontant exactement ton histoire,
T’entraîne tout le soir…
À danser sans vraiment savoir
Comment le faire, danser sans vraiment savoir,
À voir enfin que tu es
Aguichant[e] comme aucun[e] jamais,
Jamais finir de jouer cette danse et bouger,
Jamais finir de jouer des hanches et bouger.
Je suis prêt[e] à présent. Tu vois pas ?
Ça marchera cette nuit, allons-y.
On pourra bien rigoler aussi
Plus tard quand tu te souviendras de moi.
Eh, mais n’arrête pas, vas-y, s’il te plaît !
Comme quoi il n’est pas long, cet instant,
Il faut se prononcer maintenant, dire
Ces mots. C’est le moment ou jamais !
À danser sans vraiment savoir
Comment le faire, danser sans vraiment savoir,
À voir enfin que tu es
Aguichant[e] comme aucun[e] jamais,
Jamais finir de jouer cette danse et bouger,
Jamais finir de jouer des hanches et bouger,
Danser sans vraiment savoir.
Danser sans vraiment savoir.