Gardes ce regard d'inquiétude
Je suis un homme ordinaire
Ils ne me disent rien du tout
Alors, je trouve ce que je peux
Il y a un feu qui brûle
Dehors, juste devant ma porte
Je ne le vois pas, mais je le sens
Et ça m'aide à me tenir au chaud
Alors moi, ça m'est égal
Non moi, ça m'est égal
J'ai l'impression d'attendre depuis si longtemps
Toujours, je ne sais pas pour quoi
Il n'y a pas de point de fuite
Je ne m'inquiète plus
Je ne peux pas sortir afin de te trouver
Je n'aime pas aller dehors
Ils ne peuvent éteindre mes sentiments
Comme on éteindrait une lumière
Mais à moi, ça m'est égal
Non à moi, ça m'est égal
Ô à moi, ça m'est égal
Non à moi, ça m'est égal
Alors, ramène ... ramène-moi à la maison,
Car je ne m'en rappelle pas
Ramène ... ramène-moi à la maison
Car je ne m'en rappelle pas
Ramène ... ramène-moi à la maison
Car je ne m'en rappelle pas
Ramène ... ramène-moi à la maison, ô Seigneur
Car toute ma vie j'ai été prisonnier
Et je puis te dire
Gardes ce regard d'inquiétude, la mienne est une vie ordinaire
Je travaille pendant la journée
Et je dors quand il fait nuit
Je n'ai pas de lointains horizons
Je n'adresse pas mes vœux a une étoile
Ils ne croient pas que j'écoute
Ô, mais je sais qu'ils sont
Mais à moi, ça m'est égal
Non à moi, ça m'est égal
Ô à moi, ça m'est égal
Non à moi, ça m'est égal
Alors, ramène ... ramène-moi à la maison,
Car je ne m'en rappelle pas
Ramène ... ramène-moi à la maison
Car je ne m'en rappelle pas
Ramène ... ramène-moi à la maison
Car je ne m'en rappelle pas
Ramène ... ramène-moi à la maison, ô Seigneur
Alors, toute ma vie j'ai été prisonnier
Et je puis te dire
Mais je ne m'en rappelle pas
Ramène ... ramène-moi à la maison