Je sais que c'est la nuit, quand tu arrives dans ton obscure maison
La solitude bat, sans donner son nom
Quand tu lis ma lettre, tu entends le bruit
Tu vois les taches que tu t'imagines de la pluie
J'avance dehors dans la lumière, sur mon front puis-je sentir le vent
Qu'on ne sentait pas à l'intérieur, où je ne retournerai jamais, apparement
Je ne vais partir nulle part
Nulle part ne vient pas autour moi, pour moi
[refrain :]
Que des taches sur du papier, ne t'énerve donc pas
Non, les choses n'en changeront pas
Non pas parceque nous avons eu nos fleurs, ni parceque nous avons eu nos heures
Le vent peut froidement te chatouiller le dos, te poussant devant, n'as donc pas peur
Ne t'en fais pas de cela, car nous avons eu nos fleurs, ah ah ah..
Rappel-toi que nous avons eu.. nos heures
Ayant reçu l'invitation je vins, je partis tel un voleur, je me suis effrayé
Enfin que je me suis agrippé, je me suis apperçu avoir grandi
Je t'ai sucée au sec, mon écharpe a pris ton arôme
Tu m'as fait pareil, je te pardonne ta fuite
[ref.]
Que des taches sur du papier, ne t'énerve donc pas
Non, les choses n'en changeront pas