Elle est arrivée chez moi, la nuit
Je repose mes yeux sur le ciel
Foncé, ce toit glignote en étoiles
Son regard est inpénetrable
L'énorme quantité des étoiles disparaissant dans le lointain
Qu'il est petite l'orbite où se couche la terre au fil du temps
Les étoiles, les étoiles, je voudrais venir chez vous m'asiler
Les étoiles, les étoiles, alors je me senterais plus aisé
Les étoiles, les étoiles, ne pourrais-je pas venir pour le moment
Les étoiles, les étoiles, dans l'éternité au-delà du temps ?
Il est vain de porter des espoirs
Il est vain le chemin des rêveries
Donner quelque chose ou longer le bord de l'amour, ça mène tout droit dans le sable
Au matin, les étoiles de la nuit se dispercent
L'est va bientôt rougir
Amère la nostalgie restante, la tête en bas penchante
Un nouveau jour reprend
Les étoiles, les étoiles, je voudrais venir chez vous m'asiler
Les étoiles, les étoiles, alors je me senterais plus aisé
Les étoiles, les étoiles, ne pourrais-je pas venir pour le moment
Les étoiles, les étoiles, à l'éternité au-delà du temps ?
Les étoiles les étoiles. Les étoiles les étoiles. Les étoiles les étoiles. Les étoiles les étoiles.