J'ai une chance incroyable,
Quelle chance, de t'aimer
D'une tendresse si intense
Qu'elle ne finira pas avec la mort.
Ah, le cœur...
Ne lui dis pas que tu l'aimes tant,
Car quand ta vie va se terminer,
L'amour finira avec des pleurs.
J'ai une chance incroyable,
Regarde si c'est de la chance de connaître tes soucis,
Tes yeux me l'ont fait sentir,
Car ils sont les fenêtres de ton âme.
Ah, le cœur...
Ne te livre pas entièrement à un amour,
Car il y a des épines au milieu des roses,
Et le poignard traitre t'attend.
Aahhh…. aaahhhh… aaahhh…
Les yeux qui m'ont ensorcelé,
Qui m'ont fixé, ne me regardent déjà plus;
Les lèvres, qui m'ont bercé de leur mélodie,
Qui m'ont donné des baisés, n'ont plus aucune envie.
Aille... quel monde cruel,
Mon chemin se dérobe sous mes pieds.
Ces bouleversements de la vie
Sont les aléas du destin...