Je sens, tes bras, sur, mon corps
Comme un, collier d'larmes, et en or
Lorsque je pense, que je t'aime à la folie
mon cœur s'fige puis, la douleur suit
mon cœur s'fige puis la douleur suit
REF
U-ne fois, que tu, me reviendras
Quand tout s’ra fini, et qu’tu comprendras
Qu’nos jours, s’en vont, comme les hirondel-les
Mais sans qu’aucune, sans qu’au-cune, ne revien-ne
U-ne fois que, passeront, tous ces étés
Tu admettras alors, avec regret
Cette jeunesse et, toutes ces splendeurs
Que j’t’ai données, que j’t’ai don-nées
oh mon cœur
Quand dans, un non-sens, tout semble partir
que nous irritent d’an-ciens désirs
Ah si je pouvais, faire revenir c'temps
Pour ressusciter, ces ins-tants
Pour ressusciter, ces instants
REF
U-ne fois, que tu, me reviendras
Quand tout s’ra fini, et qu’tu comprendras
Qu’nos jours, s’en vont, comme les hirondel-les
Mais sans qu’aucune, sans qu’au-cune, ne revien-ne
[zik]
REF
U-ne fois, que tu, me reviendras
Quand tout s’ra fini, et qu’tu comprendras
Qu’nos jours, s’en vont, comme les hirondel-les
Mais sans qu’aucune, sans qu’au-cune, ne revien-ne
U-ne fois, que passeront, tous ces étés
Tu admettras alors, avec regret
Cette jeunesse et, toutes ces splendeurs
Que j’t’ai données, que j’t’ai don-nées
oh mon cœur
Que j’t’ai données, que j’t’ai don-nées
oh mon cœur