Écoute ça, Robert Zimmerman,
J'ai écrit une chanson pour toi
À propos d'un étrange jeune homme nommé Dylan
Avec une voix de sable et de colle,
Quelques paroles de vengeance sincère
Qui parvenaient à nous clouer au sol
Ça a provoqué quelques autres personnes,
Et ça en a effrayé bien plus encore
Et la voilà qui revient,
Cette même vieille damne maquillée
Du front de ce super esprit,
Et mettra ce monde en pièces de ses ongles
Alors qu'elle s'amène comme une amie,
Mais quelques chansons
Provenant de ton vieux cahier
Pourraient bien la renvoyer à nouveau chez elle
Tu as donné ton coeur à chaque chambre meublée,
Du moins un portrait sur un mur
Et tu étais assise derrière un million de paire d'yeux,
Et tu leur disait comment ils voyaient
Puis nous avons perdu le fil de tes pensées,
Les peintures t'appartiennent toutes
Alors qu'arrivent les ennuis,
Nous préférerions être effrayés ensemble que seuls
Et la voilà qui revient,
Cette même vieille damne maquillée
Du front de ce super esprit,
Et mettra ce monde en pièces de ses ongles
Alors qu'elle s'amène comme une amie,
Mais quelques chansons
Provenant de ton vieux cahier
Pourraient bien la renvoyer à nouveau chez elle
Maintenant écoute ça, Robert Zimmerman,
Bien que je doute qu'on se rencontre un jour
Demande à ton bon ami Dylan
S'il voudrait bien jeter un coup d’œil dans la vieille rue
Dis-lui que nous avons perdu ses poèmes,
Alors ils ne sont maintenant qu'écriture sur les murs
Redonne-nous notre unité,
Redonne-nous notre famille
Tu es le réfugié de toutes les nations,
Ne nous laisse pas seuls avec leur bon sens
Et la voilà qui revient,
Cette même vieille damne maquillée
Du front de ce super esprit,
Et mettra ce monde en pièces de ses ongles
Alors qu'elle s'amène comme une amie,
Mais quelques chansons
Provenant de ton vieux cahier
Pourraient bien la renvoyer à nouveau chez elle