Si tu m'aimes,
Viens, dis-moi le à l'oreille, pour une fois
Que tu tue mon espérance
Ou que tu me dise que tu m'aimes.
Mais toi, tu ne dis rien. Pourquoi?
Il y a des signes, tes yeux brillent quand tu me regardes,
Le parfum de mon corps
Se transforme en désir.
Mais les baisers sont morts,
Ce silence me dévore
À me rendre fou, ou même idiot.
Il ne manque qu'une caresse,
Une étincelle peut brûler la forêt,
Une brise provoque des tornades
Et moi, je suis entre tes bras.
Allons-y, sans peur de rien,
Jusqu'à être fous ou même idiots,
En croyant aux contes de fées.
Commençons et ne pensons plus.
Oui, il y aura une fin.
Faisons de cette aurore notre éternité.
Un souvenir, un mauvais souvenir
Accompagnera notre solitude.
Même s'il reste des traces
Des conséquences de la rencontre entre toi et moi,
Un sourire grimaçant,
Une larme cachée,
Cela persuade déjà d'être investi.
Mais toi, au lieu de me dire "au revoir",
Il ne manquait qu'une caresse,
Une étincelle peut brûler la forêt,
Une brise provoque des tornades
Et moi, je suis entre tes bras.
Allons-y, sans peur de rien,
Jusqu'à être fous ou même idiots,
En croyant aux contes de fées.
Commençons et ne pensons plus.
Oui, il y aura une fin.
Faisons de cette aurore notre éternité.
Un souvenir, un mauvais souvenir
Accompagnera notre solitude.
Allons-y, sans peur de rien,
Jusqu'à être fous ou même idiots,
En croyant aux contes de fées.
Commençons et ne pensons plus.
Oui, il y aura une fin.
Faisons de cette aurore notre éternité.
Un souvenir, un mauvais souvenir
Qui accompagnera notre solitude.