Si j’avais un marteau,
je cognerais le jour,
je cognerais la nuit,
j’y mettrais tout mon cœur.
Je bâtirais une ferme,
une grange et une barrière
et j’y mettrais mon père,
ma mère, mes frères et mes sœurs.
Oh oh, ce serait le bonheur.
Si j’avais une cloche,
je sonnerais le jour,
je sonnerais la nuit,
j’y mettrais tout mon cœur.
Pour le travail à l’aube
et le soir pour la soupe,
j’appellerais mon père
ma mère, mes frères et mes sœurs.
Oh oh, ce serait le bonheur.
Si j’avais une chanson,
je la chanterais le jour,
je la chanterais la nuit,
j’y mettrais tout mon cœur.
En retournant la terre,
pour alléger nos peines,
je la chanterais à mon père,
ma mère, mes frères et mes sœurs.
Oh oh, ce serait le bonheur.
Si j’avais un marteau
et si j’avais une cloche,
puis si j’avais une chanson à chanter,
je serais le plus heureux.
Je ne voudrais rien d’autre
qu’un marteau, une cloche et une chanson
pour l'amour de mon père,
ma mère, mes frères et mes sœurs.
Oh oh, ce serait le bonheur.
C’est le marteau du courage.
C’est la cloche de la liberté.
Mais la chanson, c’est pour mon père,
ma mère, mes frères et mes sœurs.
Oh oh, pour moi c’est le bonheur.
C’est ça le vrai bonheur.
C’est ça le vrai bonheur.
Si j’avais un marteau.
Si j’avais un marteau.
Si j’avais un marteau.