Ce ne sera pas dur d'aimer quand tu te réveilleras.
Tous les deux avec la peau fripée comme en enfance.
D'un seul élan dans le ciel, sur l'épaule.
Quand tu es content de toi en t'accordant du temps.
Et même ceux qui sont déguisés en agneaux,
Nous ne leur avons pas donné notre âme.
En dépit des cicatrices, je n'arrêterai pas.
Dans la joie comme dans le malheur, le reste, ce sont des clichés.
Tu ne changeras rien, c'est comme respirer.
Nous partageons une même chose qui est si dure à comprendre.
Les bras faibles et les lèvres enhardies, même si c'est encore trop tôt.
Je l'aime, c'est tout! Le reste, ce sont des clichés.
Ça ne fait pas mal de pardonner lorsqu'on se dispute.
Tous nos rêves, nos histoires.
Il suffit de se regarder pour se comprendre.
Je l'emmène avec moi, libre.
Et même ceux qui sont déguisés en agneaux,
Nous ne leur avons pas donné notre âme.
En dépit des cicatrices, je n'arrêterai pas.
Dans la joie comme dans le malheur, le reste, ce sont des clichés.
Tu ne changeras rien, c'est comme respirer.
Nous partageons une même chose qui est si dure à comprendre.
Les bras faibles et les lèvres enhardies, même si c'est encore trop tôt.
Je l'aime, c'est tout! Le reste, ce sont des clichés.