J'ai le cœur qui soupire en vain.
Je dédaigne l'argent et l'or.
Rien ne peut me consoler.
Seras-tu mon beau marin ?
Approchez-vous, jolies rosières,
car vous êtes invitées.
Votre marin vogue
sur les mers déchaînées.
J'ai le cœur qui soupire en vain.
Je dédaigne l'argent et l'or.
Rien ne peut me consoler.
Seras-tu mon beau marin ?
J'ai le cœur qui soupire en vain.
Je dédaigne l'argent et l'or.
Rien ne peut me consoler.
Seras-tu mon beau marin ?