La poussière est finalement retombée sur le champ d'argile humaine, juste assez de lumière est apparue
Afin de pouvoir distinguer le jour de la nuit
Nous sommes incomplets et vides,
Car notre créateur s'en est allé
À qui la faute?
Nous fondrons certainement sous la pluie
Dis-je, dis-je
Dis-je, dis-je
Dis-je, dis-je
L'immobilité est si vide de vie, sans esprit dans ton âme
Tels des enfants sans vision faisant tout ce qu'on leur dit
Mené dans le désert,
Car tes forces s'amenuiseront sûrement
À qui la faute?
Nous fondrons certainement sous la pluie
Dis-je, dis-je
Dis-je, dis-je
Dis-je, dis-je
Dis-je, dis-je
Dis-je, dis-je
Dis-je, dis-je
Frénésie, dissension, focus
Le monde respire
Et expire cette idée fausse qu'on appelle l'Homme
Mais je ne le connais pas
Non, je ne le connais pas
Parce qu'il ment...ils mentent
Dis-je, ouais
Dis-je, ouais
Dis-je, ouais
Dis-je, dis-je
Dis-je, dis-je