Je compte les corps sur ma gauche, je ne suis pas très ordonné, alors je ferais mieux de partir, de partir aujourd'hui
J'en ai fauché vingt-trois depuis vendredi,
Mais je ne peux me contrôler, j'ai le visage fermé,
C'est mon instinct qui exprime me sentiments
Je les lacère de sang-froid, je les tue pour qu'ils meurent
J'ai détruit les Viets, je leur ai fendu le crâne
Je ferai exploser des bombes juste sous leurs lits,
Mais maintenant, j'ai les blues du flingueur en cavale
Les pacifistes semblent bien avoir mis fin à la guerre,
Laissant les généraux écrasés et étouffés
Mais je sortirai en douce ce soir encore,
Parce qu'ils ne m'ont pas repris mon fusil
Car je fais la promotion de l'oubli,
Et je brancherai quelques civils
Je les lacérerai de sang-froid, les tuerai pour qu'ils meurent
Je détruirai les Viets, je leur fendrai le crâne
Je les tailladerai jusqu'à ce que coule le rouge,
Mais maintenant, j'ai les blues du flingueur en cavale