Pourquoi la vie ne me parle-t-elle plus,
Elle ne fait que m'embrasser en silence,
Dans la pièce noire,
De mes pensées.
Tes yeux m'ont déjà tué une fois,
Et ils me tueront pour toujours,
Où je suis étrangère au bruit,
Etrangère à mon esprit.
Déchire la mer de ta voix,
Fends l'air de tes danses,
Laisse-moi te toucher à l'intérieur,
Là où personne n'a encore touché.
Déchire la mer de ta voix,
Fends l'air de tes danses,
Laisse-moi te toucher à l'intérieur,
Là où personne n'a encore touché.
Juste un mot de toi suffit
Pour faire trembler mon corps,
Peu importe que tu me dises
Si la chaleur n'est pas morte.
Tes yeux m'ont déjà tué une fois,
Et ils me tueront pour toujours,
Où je suis étrangère au bruit,
Etrangère à mon esprit.
Déchire la mer de ta voix,
Fends l'air de tes danses,
Laisse-moi te toucher à l'intérieur,
Là où personne n'a encore touché.
Déchire la mer de ta voix,
Fends l'air de tes danses,
Laisse-moi te toucher à l'intérieur,
Là où personne n'a encore touché.
Déchire la mer de ta voix,
Fends l'air de tes danses,
Laisse-moi te toucher à l'intérieur,
Là où personne n'a encore touché.
Déchire la mer de ta voix,
Fends l'air de tes danses,
Laisse-moi te toucher à l'intérieur,
Là où personne n'a encore touché,
Là où personne n'a encore touché.