Lorsque les pères mettent - leurs fils au lit
A côté de mon lit, il y a une chaise vacante - et un livre qui attend
Il y a juste une petite plaie qui reste dans mon âme - qui est guéri par le temps
Mais ce journal aux souvenirs - n'a pas de fin, il se trouve
Même si ça fait mal, je continue de parcourir
Je suis un matin - qui se prend pour un soir
Je suis un murmure - qui entend comme un hurlement sa voie
Je suis une vague - qui devient un océan
A qui les rivages manquent
Ainsi ces années continuent de s'écouler - et ça fait presque oublier
Sur de quelles bases - on veut bien essayer de s'élancer
Faudrait-il voir un peu dans le placard - ou aller un jour à la fois
Et être content de ce qu'on a - et croire au mieux
C'est entre deux mondes que je reste...
Je suis un matin - qui se prend pour un soir
Je suis un murmure - qui entend comme un hurlement sa voie
Et je suis un vent - qui se déchaîne en tempête
Je suis une vague - qui devient un océan
A qui les rivages manquent
Dans le noir, je vagabonde en toute direction
C'est avec le lever du jour que je me fais une direction
Je suis un matin - qui se prend pour un soir
Je suis un murmure - qui entend comme un hurlement sa voie
Et je suis un vent - qui se déchaîne en tempête
Je suis un matin(un matin, un matin, un matin)
Vouh-ou-jouh
Et je suis un vent(un vent, un vent, un vent)
Vouh-ou-jouh