Assise, seule, j'observe le jour qui passe
scrutant le ciel, qu'il me dise pourquoi.
J'entends le tictac de l'horloge - si lasse,
Une voix appelle: Veux-tu venir vers moi?
Mais je ne peux céder,
non, ne peux céder,
car je veux que tu saches que j'ai résisté...
C'est juste les gouttes de pluie frappant là, au carreau..
Les cieux en colère qui enragent,
Les larmes, tels des couteaux, encore, sur mon visage.
Les nues se sont réunies juste pour se poursuivre..
C'est juste les gouttes de pluie.
C'est juste les gouttes de pluie.
Toujours assise, seule, à observer le jour se libérer.
Moi, je sens que les murs voudraient m' enserrer..
Je perds le fil, plus personne à blâmer,
Je dois trouver à m'abriter de cette pluie..
Mais j'veux pas céder-.
Non, ne veux pas céder
car je veux savoir jusqu'où je vais tenir..
C'est juste les gouttes de pluie frappant là, au carreau..
Les cieux en colère qui enragent,
Les larmes, tels des couteaux, encore, sur mon visage.
Les nues se sont réunies juste pour se poursuivre..
C'est juste les gouttes de pluie.
C'est juste les gouttes de pluie..
C'est juste les gouttes de pluie frappant là, au carreau..
Les cieux en colère qui enragent,
Les larmes, tels des couteaux, encore, sur mon visage.
Les nues se sont réunies juste pour se poursuivre..
C'est juste les gouttes de pluie.
C'est juste les gouttes de pluie..