Quand déjà ne donne plus de lumière
la flamme farouche de mon cœur
revient à ma terre
emportes mes couplets
et chantes les….
Que ma montagne sache
comment je l’ai sentie, presque sans douleur
semant mes vers là-bas dans le ravin ;
Dis-le-lui.
Semant mes vers là-bas dans le ravin
Dis-le-lui.
Que toute la Puna*
vibre avec l’écho de chaque chanson.
Que quelqu’un les entonne, debout, face au ciel,
mais que ce soit toi
Que quelqu’un les entonne, debout, face au ciel,
mais que ce soit toi !
Je veux donner au vent,
un poncho de notes avec des franges de soleil,
qui enveloppé dans mes zambas** les siffle et les danse.
Demande-le-lui.
Qui enveloppé dans mes zambas** les siffle et les danse.
Demande-le lui.
Si tu deviens triste
pense que je suis, dans la nuit enchantée
Que si mon chant, c’est perdu dans l’ombre
qu’il perdurera en toi !
Que si mon chant, c’est perdu dans l’ombre
qu’il perdurera en toi !
Que toute la Puna
vibre avec l’écho
de chaque chanson.
Que quelqu’un les entonne, debout et face au ciel,
mais que ce soit toi.
Que quelqu’un les entonne, debout et face au ciel,
mais que ce soit toi.