Nous sommes les doigts étirants
qui s'emparent et tiennent le vent...
L'étrangeté du réveil
dans un oh monde vraiment silencieux
Attendant essouflé
pour les premiers jets de lumières de fierté
Alors que les heures grandissent encore longtemps
et que les ombres ne tombent jamais
Mon ciel m'a interdit
Mon désespoir grandit
Amène moi la lumière
dans la noirceur qui ne finit jamais
le levée ne viendra jamais
punir mon paradis
[c'est ça, tu va souffrir de ma punition]
Nous sommes arrivé
aux chemins croisés ultrapériphériques
La charge du cosmos
à nos ciels atmosphériques
va causer notre chute
[notre chute]
Si j'avais des ailes, serais-je pardonné?
Si j'avais des cornes,
aurait-il des flames pour intimider mon sourire?
[Oui, il y en avait/A moins que je sois valable]
Hymnes de pertes sont entendus
des masses dans les rues
priant pour les derniers jours
Je punis
Amène moi la lumière
dans la noirceur qui ne finit jamais
le levée ne viendra jamais
punir mon paradis
La charge du cosmos
Nous chargeant d'une distance anormale
Je défies l'univers
C'est le choix entre le paradis et l'enfer
Mon âme contient toute la pesanteur des montagnes
Alors que l'humanité tisse sa fin silencieuse
Peut-il avoir aucun pardon?
Je maudis le paradis au-dessus de moi
Alors que les lumières coulent à travers
mes doigts étirants
Disparaissant dans mes bras ouverts
Faire chaque larme dans mes mains vides
une vie infinitive en enfer
En cette dernière journée de lumière
quand les feuilles d'automnes tombent
Et que le paradis lui-même me commande
hors de son lieu
[Je n'ai point peur]
Mon visage alignée avec la noirceur j'y vais!