Par la porte de chevaux
À cinq heures de l'après-midi
Les équipes apparaissent
Entre des soies et ornements
Dans le sable, il restait
Un cœur sans épée
Et ses rêves enterrés
Et ses rêves enterrés
Dans l'air de l'arène
Un toréador mourait
Sans d'autres œillets que son sang
Un toréador mourait
Comme les lumières du soir
Un toréador mourait
Puissant Seigneur, je t'en supplie
Que tu l'appelles à ton côté
Et ne l'abandonnes au ciel jamais
De soupirs se sont remplis
Les secteurs de l'arène
Et un nuage de mouchoirs
Restait sur les visages
Les clairons se perdaient
Dans la douleur de l'après-midi
Et de deuil s'habillaient
Et de deuil s'habillaient
Les couleurs nationales
Un toréador mourait
Sans d'autres œillets que son sang
Un toréador mourait
Comme les lumières du soir
Un toréador mourait
Puissant Seigneur, je t'en supplie
Que tu l'appelles à ton côté
Et ne l'abandonnes au ciel jamais
Au ... ciel ...