Aïe, aïe, ce que tu peux être crédule
De ces gens malhonnêtes qui te promettent la lune
Leur laissant ton pouvoir pour qu’ils te manipulent
Ta précieuse liberté et parfois même tes thunes
C’est fou, tu te crois à l’abri
Tu te moques du monde que tu juges avec mépris
Bien trop intelligent pour dans ce piège être pris
Tu te voiles bien la face et se joue ce qui suit
Aveuglé par l’or sortant de sa bouche
Tu bois ses paroles délicieusement à la louche
Ne vois-tu pas loucher ce fou qui t’éclabousse
De son air aguicheur et te conte sa soupe ?
(refrain x2)
Hé, sale fripon, prends garde à ta langue
Je suis le chat qui te la mangera
A ce jeu-là tu n’y gagnera pas
Un jour ou l’autre, on récolte le bâton
Nan, nan ne tombe pas dans le piège
De cet énergumène et de ses sortilèges
A trop vouloir entendre ce qui te fait plaisir
Il t’aura bien flatté l’égo mais s’apprête à te nuire
Hum, hum mais regarde-le glousser
Il tâte le terrain, divise pour mieux régner
Dans son habit de prêtre il clame le vrai dessein
Te contrôle par tes peurs, tu deviendras son chien
Aveuglé par l’or sortant de sa bouche
Tu bois ses paroles délicieusement à la louche
Ne vois-tu pas loucher ce fou qui t’éclabousse
De son air aguicheur et te conte sa soupe ?
(refrain x3)
Hé, sale fripon...
Je suis le chat...
A ce jeu-là...
Hé, sale fripon...